Le chèque énergie adopté par l'Assemblée nationale
L'Assemblée nationale a voté samedi la création d'un chèque énergie pour les ménages modestes. Cette mesure entre dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique dont la première lecture s'est achevée samedi.
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Le chèque énergie a été adopté à l'Assemblée nationale lors de la première lecture du projet de loi sur la transition énergétique qui s'est achevée samedi 11 octobre 2014.
Ce dispositif vise à aider les ménages modestes à payer les fournisseurs d'énergie ou à capitaliser afin de réaliser des travaux destinés à économiser de l'énergie.
La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal s'est également dite favorable à une "cohabitation partielle" des tarifs sociaux de l'électricité et du gaz avec le chèque énergie.
Le chèque énergie, une préconisation de l'ONEP
Il semble donc que les préconisations l'Observatoire national de la précarité énergétique aient été entendues. En effet, dans un rapport paru récemment, l'organisme encourageait les dispositifs de soutien aux foyers en difficulté : "La première urgence est l'amélioration des aides au paiement des factures qui passe par la mise en place d'un bouclier énergétique global : un dispositif qui aide davantage et mieux que les tarifs sociaux actuels, un dispositif qui repense les aides comme le chèque énergie inscrit dans le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte, pour toutes les énergies, quel que soit le mode de chauffage", argumentait Bruno Léchevin, président de l'Ademe, en préface du rapport de l'ONEP. En clair, il réclamait l'élargissement du chèque énergie, qui devra à terme se substituer aux tarifs sociaux aujourd'hui limités à l'électricité et au gaz. Reste à savoir si sur ce dernier point, le dispositif évoluera…
A noter que la précarité énergétique touche plus de onze millions de personnes en France, soit près d'une personne sur six qui éprouve des difficultés à se chauffer ou à s'éclairer.
Ce dispositif vise à aider les ménages modestes à payer les fournisseurs d'énergie ou à capitaliser afin de réaliser des travaux destinés à économiser de l'énergie.
La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal s'est également dite favorable à une "cohabitation partielle" des tarifs sociaux de l'électricité et du gaz avec le chèque énergie.
Le chèque énergie, une préconisation de l'ONEP
Il semble donc que les préconisations l'Observatoire national de la précarité énergétique aient été entendues. En effet, dans un rapport paru récemment, l'organisme encourageait les dispositifs de soutien aux foyers en difficulté : "La première urgence est l'amélioration des aides au paiement des factures qui passe par la mise en place d'un bouclier énergétique global : un dispositif qui aide davantage et mieux que les tarifs sociaux actuels, un dispositif qui repense les aides comme le chèque énergie inscrit dans le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte, pour toutes les énergies, quel que soit le mode de chauffage", argumentait Bruno Léchevin, président de l'Ademe, en préface du rapport de l'ONEP. En clair, il réclamait l'élargissement du chèque énergie, qui devra à terme se substituer aux tarifs sociaux aujourd'hui limités à l'électricité et au gaz. Reste à savoir si sur ce dernier point, le dispositif évoluera…
A noter que la précarité énergétique touche plus de onze millions de personnes en France, soit près d'une personne sur six qui éprouve des difficultés à se chauffer ou à s'éclairer.
(13/10/2014)
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